Un article venant de TVA Nouvelles concernant des personnes résidant à Trois-Rivières et qui opéraient sur le Dark Web, les fameux sites qui ne sont pas indexés sur le « surface web » et accessible seulement en utilisant TOR.
Edit: un autre article dans La Presse concernant cette opération policière.
Je le rapporte ici car je crois que c’est une des premières fois où, autre que des pédophiles, nous entendons parler de Québécois qui se font pogner là-dessus. Je ne peux confirmer le « drug market » qu’ils utilisaient pour vendre leur merchandise.
Nous ne savons pas non plus si le crime organisé à décidé, après avoir vu la popularité des Silk Road et compagnies, de s’immiscer sur le dark web.
Il s’agirait d’un réseau mondial de vente de drogues, donc je crois qu’en plus de ces perquisitions, les différents corps policiers d’ailleurs sont impliqués. On y mentionne qu’une personne liée aux arrestations de ce matin aurait été arrêtée en Thailande.
Nous avons entendus plusieurs histoires sur ce qui s’y cache dans le deep/dark web, certaines informations étant varies (comme les marches de drogues), d’autres étant plus douteuses comme les tortures perpétrées avec les meilleurs enchérisseurs décidant de ce qui pouvait se produire en direct.
Il y a aussi les forums de hackers qui vous permettent de payer pour obtenir différents services comme un botnet pour lancer des DDoS, faire des defacements de site webs, ou avoir accès à des cartes de credit volées.
Ce qui me répugne le plus, ce sont les pédophiles qui utilisent TOR en pensant agir en toute impunitée. Heureusement que des « vigilante hackers » et les enquêteurs en cybercrime veille, quoique parfois trop peu trop tard, comme le FBI qui laissait les enfants subir des agressions tout en obtenant les accès pour connaître les admins et les faire arrêter.
La première fois que j’ai entendu parler du dark/deep web et tout ce qui s’y retrouve, je me suis souvenu du livre de Patrick Sénécal, hell.com.
Donc TOR, je dis à utiliser avec moderation, tout dependant ce que vous voulez y faire.